Lacharité ne périt jamais. » (1 Corinthiens 13:4-8 1 Corinthiens 13:4-8 [4] La charité est patiente, elle est pleine de bonté; la charité n'est point envieuse; la charité ne se vante point, elle ne s'enfle point d'orgueil, [5] elle ne fait rien de malhonnête, elle ne cherche point son intérêt, elle ne s'irrite point, elle ne soupçonne point le mal, [6] elle ne se réjouit
Soupçonnerle mal est un acte qui débute toujours par une pensée qui nous amène à douter d'une personne ou d'un groupe de personnes. Généralement, nos soupçons ont pour fondement une action que nous avons vue ou une pa : Soupçonner le mal - Donald SORO
Quepersonne ne cherche son propre intérêt, mais que chacun cherche celui d'autrui. 1 Corinthiens 13:5 elle ne fait rien de malhonnête, elle ne cherche point son intérêt, elle ne s'irrite point, elle ne soupçonne point le mal, 2 Timothée 1:15 Tu sais que tous ceux qui sont en Asie m'ont abandonné, entre autres Phygelle et Hermogène.
Fast Money. Parfois les soirs de fin d'été et d'automne, la couleur d'or et de feu du soleil couchant semble éclairer toutes choses de l'intérieur. C'est là l'image parfaite de la charité, cet amour de Dieu qui éclaire de l'intérieur et inspire tous nos actes. La charité n'est pas seulement une vertu théologale, comme la foi et l'espérance, elle est aussi la vertu fondamentale, l'âme des autres vertus. Que disparaisse la charité, et la prudence, la crainte, la tempérance ne sont plus que des façades. Bien des textes théologiques semblent indiquer que la charité à l'égard des êtres humains est subordonnée à l'amour de Dieu. On peut en conclure que la personne charitable est celle qui aime ses semblables par amour de Dieu. L'idée de charité aura souffert de cette interprétation qui a incité bien des malheureux à dire aux personnes réputées charitables aimez-moi donc aussi pour moi-même un peu!» Le véritable rapport de charité avec l'autre consiste à l'aimer divinement, à l'aimer à la manière de Dieu. Non seulement l'autre se sent-il alors pleinement aimé pour lui-même, mais encore se sent-il aimé et reconnu pour ce qu'il y a de divin en lui. Certains tableaux, tel le Mendiant de Murillo, certaines sculptures, comme celles de Donatello illustrent cet amour. Si peu chrétien pourtant, Nietzsche en a eu l'intuition que votre amour soit de la pitié Mitleiden pour des dieux souffrants et voilés.» Naturelle à sa racine, la charité n'atteint sa plénitude que par ce mouvement descendant de Dieu vers l'homme qu'on appelle la grâce. À ce degré, elle est infuse, surnaturelle. Elle a pour siège la volonté, l'appétit intellectuel, précise saint Thomas, pour bien la distinguer du désir orienté vers le bien sensible. ***L'équivalent de charité en hébreu est zedakah, mot qui est synonyme de justice, de droiture. Donner à plus pauvre que soi est un devoir, non une forme de générosité, la reconnaissance d'un droit, non une faveur. Maimonide distingue sept degrés dans la charité 1 Donner, mais tristement. 2 Moins qu'il ne convient, mais de bon coeur. 3 Seulement après avoir été invité à le faire 4 Avant 5 De telle sorte que l'identité de celui qui donne soit ignorée de celui qui reçoit. 6 De telle sorte que celui qui reçoit ignore l'identité de celui qui donne. 7 De telle sorte que l'un et l'autre agissent incognito.
09/12/2011 1822 DES PENSEES LA CHARITE NOUS PARLE Je suis sans hypocrisie. Ayez donc le mal en horreur et attachez-vous fortement au bien. Par amour fraternel, soyez pleins d'affection les uns pour les autres et par honneur, usez de prévenances réciproques. Rm12 Je suis patiente, pleine de bonté; ne suis point envieuse et ne me vante point, ni ne m'enfle d'orgueil, 5. Je ne fais rien de malhonnête, ne cherche point mon intérêt, je ne m'irrite point, ne soupçonne point le mal, 6. Je ne me réjouis point de l'injustice, mais me réjouis de la vérité; 7. J’excuse tout, crois tout, espère tout, supporte tout. CO 13 8. Je ne péris jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra.
6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 0024 L'amour ne soupçonne point le mal. 1 Corinthiens 135 Soupçonner le mal est un acte qui débute toujours par une pensée qui nous amène à douter d'une personne ou d'un groupe de personnes. Généralement, nos soupçons ont pour fondement une action que nous avons vue ou une parole que nous avons entendue ou encore, pour la majorité des cas, ils sont basés sur une impression sans fondement clair. C'est en cela qu'on peut soupçonner qu'une personne soit malhonnête, qu'une autre soit méchante, qu'un groupe de personnes soit étrange. On peut soupçonner qu'une personne ait voulu nous ridiculiser, nous tromper, nous humilier, nous empêcher de réussir, nous voler quelque chose, nous blesser, nous tuer ou nous avoir. C'est vrai que des fois nos soupçons s'avèrent vrais, mais certaines personnes ont l'habitude de facilement accuser autrui sans avoir une base ou une preuve. Se basant sur des impressions, elles se méfient du prochain et vont même jusqu'à l'accuser et à le calomnier. La Bible parle de cet amour qui ne soupçonne point le mal. Il est convenable, raisonnable et biblique de prendre la peine de s'informer ou de demander avant de croire qu'une personne est mauvaise. Nous devons apprendre à faire confiance aux autres, sans être toujours sur ses gardes tout en pensant que tout le monde est faux ou qu'un type de personnes soit faux. Je sais que plusieurs, à cause de leur passé rempli de tromperie ou de trahison, ont du mal à ne pas penser que telle ou telle personne peut être fausse. Dieu qualifie cela d'un manque d'amour. A part DIEU, personne d'autre sur cette terre ne peut dire à 100% connaître les pensées de son prochain, ce qui prouve qu'on peut facilement se tromper lorsqu'on soupçonne le mal. Nous sommes prêts à douter des autres, à les soupçonner d'un mal ou à les accuser d'une mauvaise action. Avons-nous des preuves ? Pourquoi nous pressons nous à condamner et à accuser ? Est-ce de la sorte que notre Seigneur agit envers nous ? Malgré qu'IL soit Dieu et qu'IL connaisse toutes nos pensées, IL sait nous faire confiance à nouveau même si nous avons pour habitude d'échouer dans nos engagements envers LUI et envers les autres. Arrêtons donc de toujours soupçonner le mal, de se faire des impressions qui ne sont basées en rien sur du solide. Nous n'aimons pas notre prochain quand nous agissons ainsi. L'amour du prochain n'a rien à avoir avec le fait que nous disons que nous aimons tout le monde. Il faut que dans nos actions cela soit présent, sinon notre Dieu suppose que nous ne L'aimons pas aussi. Si quelqu'un dit J'aime Dieu, et qu'il haïsse son frère, c'est un menteur; car celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas? 1 Jean 420. Les paranoïaques sont pires dans cette mauvaise manière d'avoir des fausses impressions des autres ou des situations. Être paranoïaque n'est pas une attitude compatible avec l'amour du prochain. Soupçonner le mal est une mauvaise habitude qui a détruit plus d'un couple. Lorsqu'on ne fait pas confiance à l'autre, on soupçonne même ce qui n'est pas du tout vrai ; ce qui pousse l'autre partenaire à ne plus savoir comment agir de peur que sa moitié ne l'interprète autrement. Cela crée par la suite un brouillage de la bonne communion dans le couple. Soupçonner le mal a aussi détruit plusieurs solides amitiés, plusieurs anciennes alliances. L'un a cru que l'autre voulait faire ceci ou cela, ou que l'autre était ceci ou ceci et cela a créé par la suite des problèmes que l'orgueil et les frustrations ont alimenté, et après rien n'a pu être sauvé. Apprenons à d'abord faire confiance aux autres et si jamais il arrive que nous ayons des preuves solides, nous pouvons peut-être, je dis bien " peut-être " pour dire qu'il faut vraiment être sûr que nos preuves soient solides avant de soupçonner quoi que ce soit. Si une personne a pour ambition de nous faire du mal injustement, nous en tant qu'enfants de Dieu, nous savons que notre Dieu nous justifiera ou pourra déjouer les mauvais plans contre nos vies. Vous savez ce qui est grave dans l'action de soupçonner le mal, c'est le fait de commettre une grave erreur quand nos soupçons ne s'avèrent pas vrais. Cela peut attirer la colère de Dieu contre nous et nous pousser à poser des actions injustes et insensées. On peut calomnier injustement ou accuser injustement, pendant que nous savons que les enfants de Dieu sont ceux là qui pratiquent la justice de Dieu. C'est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, non plus que celui qui n'aime pas son frère. 1 Jean 310 Apprenons à toujours avoir des pensées positives envers les autres. Cela nous évitera assez des choses désagréables et nous rendra agréables à notre Père. Ne nous précipitons pas à soupçonner le mal, aimons plutôt notre prochain ! APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL Published by APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL - dans MEDITATION
l amour ne soupçonne point le mal